La journaliste d’investigation Ariane Lavrilleux a été remise en liberté mercredi soir après 48 heures de garde à vue dans le cadre d’une enquête sur ses articles concernant un possible détournement par l’Égypte d’une opération du renseignement français. Une mesure coercitive rarissime qui a indigné la profession.

L’article de RFI